HISTOIRE DE THOMAS R-C MONTGOMERY :
Elle était comme un rêve éveillée, belle comme un ange, et furtive comme une ombre. Je la connaissais bien, c'était celle que j'avais aimé, celle qui me faisait rêver alors que ma vie n'était pas très passionnante. Elle avait su me rendre heureuse, c'était certain. Je n'avais jamais ressenti ça auparavant. Mais aujourd'hui tout semblait être fini, oublié. Cela faisait plus de quatre ans que nous nous étions pas vu. Elle était loin aujourd'hui. Elle était américaine j'étais anglais. Nous avions deux univers complétement différent, deux mondes opposés, c'était comme ça entre nous deux. Nous nous étions connu pendant l'un des nombreux séjour d'Abbigail dans les banlieux de Londres. Ce n'était pas très beau, n'y très appréciable mais il y avait une seule chose qui me donner l'envie de rester la, dans cet endroit sordide. Elle était riche, élégante, magnifique, et je l'ai aimé des que je l'ai vu dans cette ruelle accompagné d'un autre homme. Je me souviens que j'avais souris légérement des que je l'ai vu, j'ai su qu'elle était pour moi et que je ferrais ma vie avec cette personne. J'ai fais l'imbésile pour l'impressionné, c'est bien moi ça casse coup sur les bords et prêt à faire n'importe quoi pour impressionner une jolie fille. Mais elle, c'était loin d'être n'importe quelle fille, c'était la seule et l'unique qui arrivait à me faire tourner la tête de cette manière. Vous savez, ce sentiment qu'on ressent quand on est devant une personne pour la première fois, et que ça vous prend tout d'un coup. Je pense que c'était ça le coup de foudre et c'était vraiment magique. J'étais habillé n'importe comment, mais j'en avais rien à faire, j'avais envie qu'elle me remarque. « Hé si t'aller faire un petit tour ? » avais-je dis à l'homme qui l'homme qui l'accompagné gentiment tout en regardant la jeune femme aussi belle qu'un ange. « Je ne pense pas que l'on se connaisse ! » m'avait-elle dit, tout en me regardant avec insistance. « Non pas encore. » Je lui avais adressé ces mots en lui souriant. Elle était comme un rêve éveillé. C'était une déesse. Elle avait juste regardé le ciel pour me faire voir, qu'elle n'en avais rien à faire de moi, mais je m'en foutais, j'étais pas du genre à abandonner aussi facilement. « Tu voudrais aller boire un verre dans un bar du coin ? » Elle m'avait regardé de haut en bas, comme pour me tester, sur mon allure, sur mes vêtements, sur mes chaussures, sur mon visage. J'étais assez mal partis. « D'accord ! » avait-elle dit enfin. Je m'étais retourné lui tournant alors le dos, pour lacher un grand YES ! « On se calme mon beau, c'est pas parce que j'ai accepté, qu'il va se passer quelque chose entre nous. Va falloir m'impressionné un peu plus. » Je m'en foutais pour le moment j'avais gerté l'autre et je pouvais passer un moment agréable avec la plus belle femme du monde. Après avoir bu un verre, j'avais proposé à la belle d'aller ce promener un peu, je ne voulais pas que sa s'arrêter elle était vraiment extraordinaire. « Viens, viens t'allonger à côté de moi. » avais-je dis m'installant au milieux d'une petite route sur un passage piéton. « Mais t'es fou. » Elle m'avait regardé bizarrement comme j'étais dérangé pour m'allonger au milieu de la route comme ça. Oui je l'étais peut être en y repensant. « Viens je te dis. » Elle m'avait difficilement rejoins, mais elle l'avait fait. Elle était désormais à côté de moi, en train de regarder le feux de sinialisation passé du vert au rouge. « Je venais souvent ici, avant avec mon père. Ont resté pendant des heures ici à regarder ce feux. » J'avais tourné la tête en sa direction. Son visage était harmonieux, tout était beau. « Et qu'est-ce qu'il ce passé si une voiture arrive ? » Je m'étais légérement à ricaner. « On meurt. » Elle m'avait regardé, assez inquiète pour le coup, en même temps c'était compréhensible, mais on était bien la tous les deux. C'était tellement agréable. C'est alors qu'une voiture nous claquesonnant c'était approché à toute allure de nous, elle n'avait aucunement l'intention de s'arrêter. On s'était dégagés précipitament. Elle s'était mise à rire, à pleins poumons. « Pourquoi tu ris ? » Elle riait toujours, elle ne semblait pas pouvoir s'arrêter. Je souriais bêtement ne savant pas trop ce qu'elle pouvait penser. « C'était tellement exitant ! » Je savais pas quoi pensé, j'étais agréablement surpris de ça réaction. Je croyais vraiment qu'elle allait partir sans un mot, mais en fait non. Bien au contraire. je me rappellerais toujours ce cette soirée. C'est d'ailleurs après ce moment pleins de surprise que nous nous sommes embrassés pour la première fois. C'était l'un des plus beau jours de ma vie. « Je t'aime Allie ! » Elle m'avait regardé tendrement, comme émerveillé devant mon regard qui se portait sur elle. Elle n'avait pas répondu, elle avait juste remué ses lèvres. Nous avons passé de merveilleux moment tous les deux. Nous étions foux amoureux l'un de l'autre, et même si on se disputé tout le temps, on était fou l'un de l'autre. Un jour elle m'a invité à manger avec ses parents. Ils habitaient dans l'une des plus belle batisses des alentours, j'avais jamais vu ça. De mon côté j'étais plus habitué aux maisons de campagnes minuscules, je n'avais jamais mit les pieds dans ce genre d'endroit. J'avais dit bonjour courtoisement à ses parents. Moi et Allie nous étions main dans la main, par moment je la regardais, j'admirais son visage. Nous nous sommes alors retrouvés à table, il y avait d'autres personnes avec nous. Je ne les connaissais pas, en même temps je ne connaissais pas beaucoup de monde comme eux, mon cercle de connaissance s'avéré être assez limité. « Alors Thomas, je vois que vous êtes vraiment amoureux de ma fille. » Cette figure impossante, m'avait parlé, il était bien habillé, grand. Mais il ne fallait pas qu'il me destabilisé, il fallait que je reste naturel autant que possible. « Oui, en effet monsieur. » J'avais regardé Allie, en faisait une légérement mimique sur mon visage d'amoureux, pour lui montré que je tenais à elle. « Vous comptez aller dans quelle université monsieur Montgomery ? » Sa mère m'avait posé une question à laquelle je n'avais pas de réponce. Cette femme, qui semblait être dur comme la roche, était sérieuse, et elle attendais une réponse c'était clair. Elle parraisait réellement insensible à notre amour, et elle voulait m'enfoncer. « Mère s'il vous plait. » Allie n'avait pas apprécier le comportement de sa mère c'était évident. « Non c'est bon ne t'inquiète pas. Je ne sais pas pour le moment à vrai dire. »
« Allie. » Elle avait courru vers moi et je l'avais prise dans mes bras la soulevant légérement, c'était une vrai scéne d'Hollywood. « Oh Thomas, je t'aime tellement. » Je l'avais embrassé plusieurs fois. Je n'avais pas envie de la relacher, je n'avais pas envie de quitter ses lèvres. Je la voulais pour moi tout seule, et pour toujours. Elle était celle que j'aimais, elle était la femme de ma vie, c'était évident. « Je t'aime tellement aussi. Je ne veux pas qu'on se quitte. » La passion avait prit le dessus sur nos esprit. Mon père n'était pas la n'y ma mère d'ailleurs, de toute manière elle n'était plus la depuis longtemps. Bien trop longtemps pour ne pas me voir grandir. Allie se sentait prête à le faire, pour ma part c'était loin d'être la première fois, mais pas pour elle, et je voulais que ça soit parfait, pour elle. Tout c'était très bien jusqu'à temps qu'Allie n'arrête pas de parler. « Tu ressens quelque chose à ce moment la Thomas ? Je suis tellement exité et toi j'ai l'impression que tu ressens rien ? Oh excuse moi, j'ai un peu du mal. » je savais à quelle point ça pouvait être dur, donc d'un côté je la comprenais. « Je t'ai fait mal c'est ça ? » J'avais un peu peur pour le coup. « Non ne t'inquiète pas Thomas. C'est juste. » Elle n'était pas encore totalement prête. Je n'allais pas la braqué, ce n'était pas mon but. Et il était déjà assez tard. « Je te racompagne chez toi. » En arrivant chez elle, la police était la. « Qu'est-ce qu'il se passe ? » avait-elle dit, un peu perdu. « Je ne sais pas. » Alors qu'on entré à l'intérieur, les parents d'Allie, nous ont sauté dessus. « Mais ou étiez-vous ? » Sa mère s'était approché d'elle. « Nous nous sommes inquiétés moi et ton père. Il est plus de deux heures du matin. » Je me sentais coupable. « C'est de ma faute. Nous n'avons pas vu l'heure. » Je me confrontais aux deux figures les plus impossantes que je connaissais. Et c'était un peu terrifiant. Je n'avais pas envie de perdre Allie. « Je voudrais parler avec ma fille seule à seule. » Elle me demandé de partir, c'était clair, je savais très bien qu'elle ne m'aimait pas, qu'elle ne voulait pas que je sois avec sa fille, qu'elle méritait bien mieux qu'un garçon incapable d'aller dans les plus grandes université, et qui n'avait même pas d'ambition pour le moment. Mais j'étais prêts à lui prouver le contraire. Je savais que je ferrais tout ce qui était en mon pouvoir pour avoir une bourse et allé dans l'une des plus grande université du monde, il fallait que je le fasse. J'avais entendu un bout de leur discution sur moi, sur notre couple. « Tu mérites mieux que ce looser Allie, de beaux jeunes hommes talenteux, t'attendent, pourquoi tu t'embêtes avec ce moins que rien. » Allie c'était efforcé de me défendre tant bien que mal. « Mais je l'aime. » Mais c'était trop tard. J'avais attendu, dehors, espérant qu'elle sorte tôt ou tard. Une fois qu'elle ait pu sortir, elle me rejoigna, elle m'enlaça. Quand elle se retira de mon cou, elle semblait pleurer. « Qu'est-ce qu'il se passe ? Ne pleure pas je t'en pris. » Elle ne pouvait pas s'arrêter. C'était comme s'il y avait eu un surplu d'émotions en elle, il fallait que tout parte. Je ne supportais pas de la voir comme ça, et je savais très bien que si cela continué ça continuerais. Elle avait semé le doute dans mon esprit, ses parents étaient aussi la cause de cette remise en question, et je ne savais pas quoi dire de plus. J'avais baissé la tête tout simplement. Je ne voulais pas pensé à son départ, c'était bien trop dur. Je n'avais pas envie qu'on se quitte, cela me déchirait le coeur. Il était presque minuit. « Thomas, qu'est-ce qu'il y a ? » Je la regardais droit dans les yeux. Je pensais à tous ces moment de bonheur passés avec elle, et sa me déchirait complétement de l'intérieur. Je ne la verrais plus ... elle allait bientôt partir. « Ah quoi bon rester Allie. Tu vas bientôt partir loin de moi. Tu vas me quitter. Et ça sera fini entre nous. » Elle me regardait, elle ne comprenait pas. « Ca veut dire que tu me quittes ? Thomas ? Non ! Je ... je ... je ne veux pas. Je t'en prisn ce n'est pas possible. » Elle ne savait plus quoi dire elle était en face de moi, j'étais prêt de ma camionnette, et aucun son ne sortait de ma bouche. C'était tellement dur de la voir comme ça. « NON ! NON ! NON ! Pourquoi ? Je ne veux pas ! » m'avait-elle dit, me frappant, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle avait certainement envie que je souffre autant qu'elle souffrait elle même. Et je souffrais terriblement moi aussi. « MERDE ALLIE ! Arrête, arrête ! S'il te plait, tu sais à quel point c'est difficile pour moi aussi. » J'étais complétement pommé. Nous allions tous les deux souffrir de toute manière, et j'avais l'impression que plus rien ne pouvait sauver notre couple. « Allé vas-y casse toi, barre toi loin. Loin de moi. Quitte moi, je veux plus te voir. Je te déteste Thomas. » Et j'étais parti, roulant, fallait pas que je me retourne, parce que si je le faisais je savais très bien que je ne pourrais pas la quitter. « Non Thomas, reviens, je t'en pris, reste, c'est qu'une dispute de rien du tout comme d'habitude. Tout ira mieux demain. Oui c'est ça, tout ira bien demain. » J'avais pas dormi de la nuit. C'était horrible. Elle n'était pas revenue le lendemain, en vélo comme à son habitude. Peut-être qu'après tout c'était réellement fini entre nous. Ce jour la j'avais aidé un ami dans ses livraisons de journaux. Alors que j'étais partis, Allie est passé chez mon père, elle lui a dit que qu'elle m'aimait et qu'elle ne m'oublierait jamais, mais qu'elle partait aujourd'hui. Quand je suis revenus, j'ai fais aussi vite que possible, pour la rejoindre, pour lui dire que rien n'était terminé, que je l'aimais toujours moi aussi, et que ça serait toujours comme ça. Après son départ, je lui ai écrit une lettre, je savais très bien qu'elle adorait ça.
Ma très chère Allie,
Je n’ai pas pu fermer l’œil parce que je sais que tout est fini entre nous. Je ne suis plus amer car je sais que ce que nous avons vécu était vrai. Et si un jour, nous nous rencontrons dans nos nouvelles vies, je te sourirai sincèrement, en me rappelant l’été que nous avons passé sous les arbres, apprenant à nous connaître en étant amoureux l’un de l’autre. Le plus bel amour est celui qui éveille l’âme et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprits. C’est ce que tu m’as apporté. Et c’est ce que j’espérais pouvoir t’apporter pour toujours.
Je t’aime,
À très bientôt.
Thomas.
Je n'ai jamais eu de réponse de sa part, chaque jour, j'ai regardé, dans la boite aux lettres, j'ai demandé au facteur. Mais jamais rien, j'ai continué pendant un an, chaque jour je lui ai envoyé une lettre. Mais sans nouvelle, j'ai compris que tout était perdu. J'ai souvent essayé de l'oublier, j'ai tout essayé. Je suis même allé pendant quelques années dans l'armée, pour essayer de ne plus penser à lui. Il fallait que j'essaye, mais il n'y avais rien à faire. Je l'ai toujours aimé, et encore aujourd'hui je ne cesse de l'aimer.